Face aux défis de la transition énergétique et du développement durable, Grenoble INP - Pagora et Grenoble INP - Génie Industriel pilotent le projet BIORAF.
Ce programme innovant, lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt "Compétences et métiers d’avenir", propose des formations Bac+5 et Bac+8 dédiées aux bioraffineries, des acteurs clés de l’économie circulaire.
Former des ingénieurs pour une bioéconomie durable
Les étudiants bénéficieront d’un apprentissage mêlant théorie et pratique, axé sur l’éco-conception et l’optimisation des procédés de transformation de la biomasse. En intégrant des projets concrets en collaboration avec des entreprises telles que Fibre Excellence, et en partie réalisés en milieu industriel, la formation garantit une adéquation avec les attentes du marché et les réalités de terrain.
Un réseau d’excellence
BIORAF s’appuie sur un écosystème dynamique : Clermont Auvergne INP, laboratoires comme le LGP2 et pôles de compétitivité tels qu’AXELERA et VEGEPOLYS VALLEY. Ces collaborations renforcent l’approche globale du projet, qui couvre toute la chaîne de valeur, de la conception des procédés à leur évaluation environnementale.
Un projet stratégique pour la transition énergétique
En misant sur des procédés biosourcés pour produire biocarburants, bioénergies et matériaux, les bioraffineries répondent aux enjeux de durabilité. Le projet BIORAF positionne Grenoble INP comme un acteur clé de la bioéconomie et contribue à former des ingénieurs capables de relever les défis environnementaux de demain.
Avec un budget de 4,6 millions d’euros, ce programme confirme le rôle de Grenoble INP comme moteur de l’innovation dans les métiers d’avenir.
Grenoble INP - Pagora, école d’ingénieurs de l’Université Grenoble Alpes, est spécialisée dans les domaines des procédés de transformation de la biomasse, des biomatériaux, du papier et des technologies d’impression. Forte d’une expertise reconnue, elle propose des formations de pointe pour préparer les ingénieurs aux enjeux du développement durable, notamment grâce à son lien étroit avec les entreprises et à ses laboratoires de recherche innovants, tels que le LGP2.