Extraite de plantes ou de papier, plus légère et résistante que l’acier, la nanocellulose constitue un matériau prometteur aux applications industrielles variées, même si les recherches se poursuivent pour préciser ses débouchés et améliorer sa rentabilité, selon des spécialistes du secteur.
« Un énorme potentiel : c’est le futur de l’emballage et de la cosmétique (...) Vous en aurez partout d’ici à moins de dix ans », affirme Karim Missoum, PDG d’Inofib, une start-up française issue du pôle de recherche Grenoble INP étudiant les applications possibles.
Source : L'Orient Le Jour