La diminution de la récolte de bois exigée par le Forestier en chef du Québec à la suite des feux de forêt historiques de l’été dernier fera mal aux communautés dont l’économie dépend de l’industrie forestière.
C’est ce qu’affirment plusieurs élus du Nord-du-Québec et de l’Abitibi-Témiscamingue, qui redoutent les répercussions des limitations de récolte sur les usines de transformation du bois, véritables poumons économiques pour de nombreuses municipalités.
Source : Radio-Canada
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