De nos jours, il semble que la vie soit de plus en plus rapide. Avec l’arrivée des téléphones intelligents, nous devons être disponibles 24-7 et avoir une opinion sur tous les sujets.

Avez-vous déjà cru que vous aviez du pouvoir sur cet enjeu socio-économique? Si oui, vous avez réalisé assez rapidement que les solutions émergeraient de votre propre milieu de travail.

Il y a des solutions aux répercussions sur la santé mentale que subissent depuis plusieurs décennies les personnes et les milieux de travail. Et c’est encore plus nécessaire en ces temps de pandémie. Le statuquo n’est assurément pas une option!

Dans mon dernier texte, je vous posais la question à savoir : « ce que vous appeliez urgence, s’appelle-t-il encore urgence? » En fait, je voulais soulever chez vous cher leader, une réflexion quant aux sources de stress et aux effets sur votre santé et celle de votre équipe.

Je me permets de vous poser cette question étant donné le contexte. Il y a quelques semaines déjà, la terre a continué de tourner, mais les gens qui l’habitent ont dû changer beaucoup de chose dans leur vie en réponse à la pandémie.

Dans un contexte tout à fait exceptionnel où la population du Québec se prépare à l’isolement prolongé et où les milieux de travail doivent s’adapter, voici un guide pouvant vous être utile à la réflexion face à l’exercice de certains métiers et certaines professions, classés « services essentiels » ou non.

Pour ceux qui me connaissent, j'ai plutôt le pouce vert dans mes jardins et une passion marquée pour la nature. Mes nombreux moments de contemplation me conduisent à plusieurs réponses à mes grands questionnements.

Depuis très longtemps, l'être humain est considéré comme responsable de ses actes, même s'ils sont involontaires. Un évènement indésirable ayant pour cause un comportement humain sera systématiquement justifié par la culpabilité de la personne en question.

Pourquoi remettre en question le modèle traditionnel de gestion et permettre aux personnes de choisir de prévenir librement ? Simplement parce que l'humain agit plus souvent sous l'influence des émotions que du rationnel.

Je sais, tout le monde en parle et on en parle probablement trop. Mais lors d'un tout récent événement public à Saguenay où je donnais ma conférence sur les Coups de pouce, les participants m'ont questionnée sur ce sujet et la discussion qui en découla fut fort enrichissante. Je voulais vous la partager.

Qui de nous souhaite le contraire dans une ère où tout va vite et où les ressources humaines, comme économiques, sont limitées.

Dans le cadre de mes ateliers en compagnie de dirigeants et superviseurs, il arrive souvent que l'on me fasse la remarque suivante : « c'est ingrat le job de superviseurs. Tout repose sur nos/leurs épaules! »

Une expérience vécue en 2017 chez un nouveau client et en voie de se régler dans les prochaines semaines, m'a inspiré ce billet. Voici l'histoire.

On le sait déjà depuis fort longtemps que le fait de prendre acte sur les événements, et ce, à l'étape même de l'incident, du passé proche ou du comportement à risque permet aux organisations les plus performantes, d'agir sur les causes et de prévenir ainsi, les événements à caractère plus grave.